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Qu’est-ce que c’est qu’ce Bouleau?!

Publié le
parAnick Goumaz

Tout, tout, tout, vous saurez tout sur Bouleau ! D’une idée de magazine née en pleine pandémie de covid-19 jusqu’à un projet complet au service des professionnels de la région des bois du Jorat et environs, Bouleau a bien évolué. Découvrez cette histoire, qui – on l’espère ! – est le début d’une success-story.

Il y a foooort longtemps, quand on était encore confinés (hum, hum…), notre cher slasher Tanguy (tu découvriras bientôt ce qu’est un slasher, en lisant l’interview de Tanguy à paraître prochainement…) a eu l’une de ses fameuses idées que le monde entier lui envie : « En lisant des exemples de magazines publiés dans d’autres régions, je me suis dit qu’avec plus de 3’500 entreprises, les bois du Jorat et environs méritaient amplement leur média économique ! »

Premiers pas : le benchmarking

Il fallait immédiatement en parler à Cindy, notre graphiste de talent, alors fraîchement installée au Jorat Coworking de Tanguy (tu commences à comprendre ce qu’est un slasher ?) : « J’ai tout de suite trouvé l’idée très intéressante. En plus, dans mon métier, c’est une sacrée expérience de pouvoir créer et mettre en page un magazine ! » Les deux collègues débutent en récoltant des avis et conseils dans le domaine. Verdict : l’édition, c’est ambitieux, mais passionnant !

Pour écrire un magazine, il faut… écrire !

« Quand on a évoqué la rédaction, on a tous les deux dû se rendre à l’évidence que ce n’était pas trop notre truc… », avoue Tanguy. Le hasard fait bien les choses, une rencontre quelques mois avant avec Anick, rédactrice et elle aussi fondatrice d’un coworking à Syens, près de Moudon, a apporté la solution. « Je suis l’étrangère de l’équipe ! Mais depuis que j’ai emménagé dans le Jorat en 2016, je me montre toujours partante pour participer à la vie d’ici », raconte Anick. Voilà que la team de choc était formée !

Tous engagés pour les entrepreneurs de la région

Dès le départ, les trois indépendants surfent sur une super énergie pour faire avancer le projet. Tous sont convaincus du potentiel de la publication et trouvent facilement de bons arguments à présenter aux futurs sponsors. Eh oui, il faut bien dénicher des soutiens, car les magazines autofinancés ne courent pas les rues. Ah et puis on a oublié de le dire, on veut le distribuer gratuitement aux entreprises !

T’as pas deux balles ?

Le trio vit quelques déconvenues lors de sa recherche de sponsors, dont une mémorable déception qui se termine par une bonne fondue à Moudon pour se requinquer ! Les échecs nous renforcent et les bonnes nouvelles arrivent aussi. « La rencontre avec la Banque WIR restera une belle étape dans la vie de Bouleau », relève Tanguy. « Ça fait tellement plaisir de créer de vrais partenariats avec des valeurs en commun, bien plus que juste un sponsoring. »

Demander le programme !

Boostée par le soutien de partenaires au top, l’équipe continue à trouver des idées prometteuses et le sommaire de la première édition de Bouleau Magazine se dessine. « Le premier critère est d’apporter une haute qualité de contenu », précise Anick. « Proposer des dossiers thématiques représente une belle manière d’y arriver. »

Bouleau on tour

Pour rédiger les premiers articles, rien de mieux que d’aller à la rencontre de personnes passionnantes. « En plus de graphiste et webdesigner, je me suis retrouvée avec la casquette de photographe », se souvient Cindy. « C’est trop bien de mener des interviews et de retranscrire ces moments par des photos, avec l’esprit Bouleau bien sûr ! »

Il y a un temps pour tout

Les objectifs de publication approchent, mais on est toujours plongés en pleine pandémie. « Si on lance Bouleau, c’est pour se mettre au service des entrepreneurs et pas pour les harceler avec de la vente de pub dans cette période difficile », raconte Tanguy. Et surtout, notre « trouveur d’idées en série » a encore quelque chose derrière la tête…

Phase de réflexion

« J’ai ouvert le Jorat Coworking car je voulais tisser des liens entre des professionnels, c’est pourquoi je l’avais accompagné d’un réseau Jorat Networking. Avec le temps, je me suis dit qu’on pourrait le faire correspondre avec la zone de distribution de Bouleau. » Une vision qui fait prendre de l’ampleur au projet et qui motive tout de suite Cindy et Anick.

Bouleau Magazine devient Bouleau.ch !

Créer un nouveau réseau, oui, mais il faut qu’il ne ressemble à aucun autre ! Bouleau Network ne s’arrête pas aux frontières d’un district et il bouscule les codes par son esprit décontracté, tout en apportant une sérieuse plus-value à ses membres. Un réseau, un magazine : il ne manquait plus que le webzine ! Ben voyons !

On tient le bon bout

A partir de là, on s’y met à fond ! Tu sais comment c’est, quand tout se passe comme sur des roulettes, on a la confirmation qu’on tient le bon bout. Ok, c’est vite dit ! Les trois fondateurs ne ménagent pas leurs efforts, mais ça reste tout le temps dans la bonne humeur ! La rencontre avec Joëlle Cornuz, du coworking Kibosse à St-Barthélémy, représente un autre coup d’accélérateur. Bouleau réunit maintenant trois espaces de coworking, dans les trois districts concernés, génial non ?

Vole, petit Bouleau !

La suite, tu la connais surement : petit Bouleau va devoir prendre son envol et devenir grand ! Ses trois parents ont stressé leur race (n’ayons pas peur des mots, tu sais ce que c’est un lancement), mais toujours avec un immense plaisir de bosser ensemble. Le 10 juin 2021, lors d’un webinaire, on dévoile Bouleau.ch avec son réseau et son webzine. Le magazine viendra en son temps, bien qu’on soit pressés de voir le bout de son nez. Alors, tu rejoins l’aventure ?

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